C’est officiel : Kate Middleton et le prince William vont bientôt aller s’installer à Forest Lodge avec leurs trois enfants, George, Charlotte et Louis. Ils font ainsi leurs adieux à Adelaïde Cottage où ils ont passé de nombreuses années. Pour préparer leur arrivée, les alentours de la propriété située à Windsor Great Park, dans le Berkshire, ont été analysés. Ainsi, un important dispositif de sécurité a été mis en place afin de s’assurer qu’il n’y aura aucun problème pour le prince de Galles et sa famille. Toutefois, comme l’a indiqué le média Hello! ce lundi 29 septembre, ce n’est pas au goût de tout le monde. Si certains rêveraient d’habiter à côté de membres de la famille royale, d’autres voient plutôt ça comme un cauchemar.
La sécurité de la famille est primordiale et le ministère de l’Intérieur britannique a vu les choses en grand. Pour cela, des caméras de surveillance, une clôture haute et des aménagements paysagers empêcheront tout accès non autorisé à la propriété. Pour les habitants, ces mesures ont un gros impact négatif puisqu’un parking et une entrée du parc de Windsor, habituellement accessibles aux promeneurs, ont été définitivement fermés. C’est dans un arrêté que la décision a été annoncée, précisant que la superficie de la zone est d’environ 3,7 kilomètres et comprenant 61 hectares de terrain. Des panneaux ont été installés afin d’avertir le public d’une zone désormais fermée avec une clôture qui masque la vue sur la maison et des caméras de surveillance pour empêcher toute intrusion.
Dans les colonnes du média, de nombreuses personnes ont pris la parole concernant l'arrivée du couple royal. Tom Bunn, propriétaire d’un chien, confie qu’il avait pour habitude de se rendre dans le parc. “Bien sûr, c'est dommage car mon chien adore venir ici. Nous venons ici toutes les deux semaines et nous allons devoir trouver un autre endroit où il pourra se promener”, a-t-il débuté. Toutefois, il confie comprendre que la sécurité de Kate Middleton, du prince William et de leurs enfants est primordiale, même s’il doit faire des compromis. D’autres ont beaucoup plus de mal, comme l’a confié une femme dont l’identité n’a pas été dévoilée. Cette dernière déplore n’avoir eu que quelques jours pour se faire à l’idée et évoque le fait qu’elle devra désormais se rendre plus loin pour se balader.
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